Il abandonne la bicyclette pour un scooter (Vespa).

Dernier déménagement à la Westbühlstrasse 40, toujours dans Neubühl, avec Liane et Alexander.

Succession de maladies infantiles à la suite d’oreillons, qui lui avaient été épargnées dans son enfance, car il n’avait pas fréquenté d’écoles jusqu’à 13 ans.

Voyages en Suisse, Italie, France, Allemagne, Autriche, Belgique, Hollande, Grèce, Espagne, Turquie, au Portugal et une fois à Londres.

Des expositions à Munich, Zurich, Berne, Bâle, Horw près de Lucerne, Küsnacht, Eglisau, Lichtensteig.

Au fil des années, ses tableaux sont exposés dans des galeries de la plupart des grandes villes de Suisse allemande et du Tessin, à Mannheim, Baden-Baden, ainsi qu’une fois à Paris et une fois à New York.

Quatrième mariage :
Il épouse Liane Lenhoff,
qui l’accompagnera jusqu’à sa mort durant 40 ans.

Sa fille Jeanne repart à Buenos Aires.

Ses tableaux proposés pour l’Exposition d’art suisse à Bâle sont refusés.

Décès de son père.

Grave maladie d’Alexander.

Lui-même risque de mourir d’une infection pulmonaire virale, compliquée par une rougeole.

Il achète sa première voiture: de nouveaux horizons s’offrent à lui.

Succès de vente croissant.

Travaille opiniâtrement à son manuscrit.

Les effets des interactions entre les connaissances théoriques et l’application technique se manifestent toujours davantage. Le travail quotidien dans son atelier entraîne des expériences à la fois pratiques et fondées sur la méditation, qui conduisent à la différenciation de formulations anciennes, tandis que les réflexions philosophiques sont à leur tour mises à l’épreuve durant le processus pictural lui-même. La réussite de la concrétisation de ses vues confirmant leur valeur ainsi qu’un certain degré de succès matériel stimulent sa créativité.

Après 35 ans de locations, d’expropriation partielle et de procès, il peut enfin vendre son atelier de Paris.

Son fils Alexander commence ses études universitaires et quitte le foyer familial.

Vietinghoff détruit 100 toiles des 30 dernières années qui ne lui donnent pas satisfaction.

Vietinghoff retravaille en profondeur son manuscrit.

Une passion romantique non partagée bouleverse son quotidien, crise sentimentale.

Amitié avec Bartel
van der Waerden,
mathématicien
de renom mondial,
et avec sa femme,
Autrichienne
comme Liane.

Il revoit sa fille en Argentine après 17 ans de séparation, et fait la connaissance de son gendre ainsi que de ses 3 petits-enfants.

Voyage dans le Nord du pays et dans la Précordillière des Andes.

Brève rencontre avec Marcella après 32 ans.

Voyage au Sri Lanka (rêve de jeunesse) pour son 70e anniversaire.

C'est la meilleure année de sa vie sur le plan de la vente de ses toiles.

Dramatique histoire d’amour.

La vente de ses tableaux lui vaut le plus haut revenu de sa vie.

Nouvelle visite à sa fille et à sa famille à Buenos Aires, excursions diverses.

Coupure dans sa vie :

chute sur du verglas,
double opération du col d’un fémur.

Opérations de la cataracte aux deux yeux.

Puis une intense activité créative.

Dernier séjour à Paris (avant il y allait annuellement).

Point final à son manuscrit après presque 50 ans de travail, et partage de l’ouvrage en deux volumes:

«Die Technik der Malerei» (La technique picturale) et

«Das Wesen der bildenden Kunst» (La Nature des Arts visuels).